Le basilic est utilisé dans de nombreux domaines, il est donc normal de vouloir en faire des réserves. En plus de l’acheter dans un magasin de fruits et légumes, il est possible de le cultiver soi-même. C’est d’ailleurs la solution à privilégier, compte tenu des avantages en termes de coûts, qui restent maîtrisés. Avec l’arrivée de l’inflation, il est en effet bon de faire plus attention à ses sorties d’argent.

Bien qu’il existe des biens plus coûteux, même les produits de première nécessité, comme la nourriture, doivent être examinés avec attention.

Si des maladies fongiques ont attaqué votre basilic, prenez les mesures suivantes

Dans la mesure du possible, il est préférable de cultiver directement, ce qui permet d’éviter les coûts de gestion et de main-d’œuvre supportés par les entreprises.

Dans le cas du basilic, ce sera d’autant plus facile que les exigences sont faibles. Quelques précautions minimales doivent cependant être respectées, sous peine de courir le risque réel de le voir pourrir. Ce n’est qu’une série de précautions minimales que nous allons maintenant vous exposer.

La première étape importante consiste à choisir un pot adéquat : choisissez-en un bien drainant et suffisamment grand pour que le basilic puisse s’épanouir pleinement. Etudiez également la terre utilisée. A cet égard, la plante doit être arrosée, mais dans certaines limites.

Sinon, au lieu de les aider, vous leur donnerez le coup de grâce : les feuilles se flétriront et la reprise sera un travail de titan. La méthode pour vérifier l’état de la surface est la même que d’habitude : il suffit de la toucher avec le doigt. Si elle est humide, n’intervenez pas, sinon irriguez. Dans le cas contraire, vous favoriserez le développement de maladies fongiques, qu’il convient de traiter, au lieu d’apporter plus d’eau, en nettoyant les feuilles elles-mêmes, en éliminant celles qui sont pourries.